Visible et invisible
Bonjour à tous et toutes,
Je me souviens quand j'étais une enfant, je regardais souvent l'univers et je me posais toutes les questions que chacun de nous se posent. Existe-t-il une vie après la mort, ou bien alors d'où nous viennent toutes ces idées positives que l'on reçoit ?....
Et puis quand je suis revenue à Paris à l'âge de 14 ans, je suis tombée sur un livre qui m'a fait tilt. "La vie après la mort ".
J'ai su que j'étais sur mon chemin.
C'est pour cela qu'aujourd'hui, je parle du visible et de l'invisible avec l'aide d'un guide.
C'est vrai que c'est difficile de faire admettre aux humains la réalité d'un monde que l'on ne voit pas, c'est qu'ils ne possèdent pas encore pour l'observer ou le saisir, des organes aussi développés que ceux qui leur permettent d'entrer en contact avec le monde physique : le toucher, la vue, l'odorat le goût.
L'idée qu'il existe un autre monde peuplé d'innombrables êtres, invisibles mais réels que ceux que l'on côtoie tous les jours est quelque chose d'insensé pour la plupart d'entre-nous, eh bien, c'est un mauvais raisonnement.
Le monde visible ne serait rien s'il n'était pas animé, soutenu par le monde invisible. A l'origine du visible nous devons toujours chercher l'invisible. Si le monde existe pour nous, si nous pouvons voir le soleil, le ciel, la terre, c'est grâce à ce principe invisible qui est en nous, et nous permet de les découvrir avec nos yeux.
Le monde visible n'est que l'enveloppe du monde invisible sans lequel on ne pourrait rien connaître de tout ce qui existe en nous. Ceux qui refusent catégoriquement l'existence du monde invisible prouvent qu'ils ne réfléchissent pas. exemple celui qui est amoureux doute-t-il de son amour ?
Pourtant, il ne le voit pas, il ne le touche pas, mais à cause de lui il est prêt à remuer ciel et terre.
Alors nous voyons bien là, que quelque chose se cache derrière, et qu'il ne faut pas l'ignorer. Nous devons toujours être à l'écoute de notre intérieur.
Avec tout mes vœux de Paix Profonde et de Fraternité.
Hirondelle.
